Si vous êtes nouveau ici, ou que vous n’avez jamais regardé un épisode de Reflecto, je vous invite à vous rendre ici avant toute chose, pour que j’aie le plaisir de vous présenter l’émission !

Je suis très heureux de vous accueillir pour ce premier épisode de Reflecto. Un épisode d’ouverture qui ne fait pas vraiment dans la dentelle, puis qu’il va parler… de la mort.

L’idée m’est venue alors que je venais de terminer coup sur coup deux illustres jeux vidéos qui ont justement en commun de confronter le joueur à la mort d’un de leurs personnages principaux. Et ces deux jeux, que sont The Last of Us Part. II et Mother 3, le font d’une manière si différente que cela ne pouvait pas mieux tomber pour en faire le sujet de ce premier épisode !

[Attention] Ce premier épisode révèle, vous vous en doutez, des éléments importants de chacun de ces jeux. Si cela peut vous rassurer, ils surviennent chacun à la fin de leur premier chapitre respectif. C’est à dire au bout de deux-trois heures de jeu pour The Last of Us Part. II, et au bout d’une heure pour Mother 3.

J’espère que celui-ci vous intéressera et vous donnera envie de regarder les prochains !

Bon visionnage à tous, et à très vite dans les commentaires (ici ou sur Youtube) !

1 Twitter

George Takei est un acteur américain principalement connu pour son rôle de Lieutenant Sulu dans Star Trek. Mais ce qui se sait moins dans nos contrées, c’est qu’il a également toujours été un fervent militant politique avec des valeurs inculquées par ses parents. Leader de nombreux combats pour les droits LGBTQ+, il s’est aussi montré très actif ces dernières années dans une opposition de tous les instants à la politique anti-immigration de l’administration Trump. Pour une raison très simple : en 1942, alors qu’il n’était qu’un enfant, il est jeté dans un “camp d’internement” comme la plupart des Nippo-Américains. Des gens à la vie paisible et sans reproche mais qui étaient, simplement à cause de leur origine, considérés comme dangereux et ennemis des Etats-Unis. Une histoire qu’il partage dans un comics (ou roman graphique pour les snobs) avec son co-auteur Steven Scott et l’illustratrice Harmony Becker dans Nous étions les ennemis (ou They called us Enemy), sorti en mai 2020 chez nous et récompensé par un Eisner Award cette année.

Tout commence dans la psychose. Les Etats-Unis s’engouffrent dans la Seconde Guerre mondiale après l’attaque de Pearl Harbor par le Japon, accentuant une discrimination déjà bien présente contre la très nombreuse communauté d’origine japonaise sur la côte Ouest. Harcelés et agressés, ils sont finalement victimes de leur propre pays, les Etats-Unis : le Président américain de l’époque, Franklin D. Roosevelt, signe le décret présidentiel n° 9066 qui restera comme une tache indélébile dans l’histoire américaine. Ce décret désigne comme « zone d’exclusion » pratiquement toute la côte Ouest des Etats-Unis à tout personne d’ascendance japonaise. La finalité est simple : comme l’explique George Takei, ils veulent interner dans des camps l’ensemble de la population d’origine japonaise. Le début de la fin pour un pays qui se retourne ainsi contre ses propres citoyens.

© 2020 Nous étions les ennemis, Futuropolis et IDW Publishing

La dignité des opprimés

La signature du décret est un moment évidemment brutal pour le tout jeune George Takei. Du haut de ses cinq ans, il n’a pas encore conscience de la portée politique et des conséquences de la mesure, mais il voit immédiatement sa famille et ses amis devenir une cible pour des bas du front qui voient là une justification extraordinaire à toutes leurs pensées et actes racistes. Décomplexé, le racisme contre les asiatiques explose tandis que le FBI procède à des arrestations arbitraires et que l’armée américaine s’empresse de réunir cette communauté dans le but de l’enfermer dans des camps d’internement en Californie, Arkansas, Arizona ou encore dans le Colorado. Son père qu’il admire tant devient prisonnier comme tous les autres, sa mère ne cesse d’être digne face à une situation humainement insupportable, et c’est cette image de ses parents qu’il ne cesse de raconter avec un amour bouleversant. Car cette situation est fondatrice dans l’identité de George Takei. C’est ce qui a forgé son intérêt pour la politique et pour la défense des minorités, à une époque où il voyait ses parents subir l’innommable en gardant toujours la tête haute. Nous étions les ennemis n’est pourtant pas qu’un simple récit autobiographique, c’est aussi une excellente bande-dessinée où l’illustratrice Harmony Becker raconte avec ses dessins et sa mise en scène une histoire bouleversante. Quelques-uns de ses dessins ne peuvent plus me sortir de l’esprit depuis ma lecture, où elle est capable d’utiliser le récit de George Takei pour montrer toute l’horreur de ces camps et leur impact insupportable sur toute une génération et sa descendance. Avec la finesse de son approche et sa retenue lors des scènes les plus graves, Harmony Becker émeut au moins autant que l’histoire de l’acteur.

Et si elle y arrive si bien, c’est aussi parce que Takei raconte son histoire avec une simplicité qui surprend face à la complexité des événements. Notamment parce qu’il les raconte du point de vue de l’enfant qu’il était, avec sa difficulté à comprendre pourquoi il devait soudainement vivre dans ces baraquements sales alors que ses parents avaient une vie bien rangée auparavant. Il ne comprend pas non plus pourquoi il y a tous ces grillages autour de ce « quartier » ni pourquoi ses parents ne peuvent pas en sortir. En racontant cela presque à la manière d’un récit initiatique, il cherche à montrer ce qui a fondé ses convictions et pourquoi il se bat aujourd’hui avec autant d’ardeur.

L’excuse sécuritaire : en 1942 comme en 2020

Car ce n’est pas un hasard s’il a décidé de raconter son histoire en 2019. Les Etats-Unis s’engouffrent plus que jamais dans un populisme exacerbé qui justifie toutes les atteintes aux droits fondamentaux : on a tous vu passer ces images extrêmement choquantes où des enfants d’origine mexicaine, essentiellement, étaient enfermés en cage dans le sud des Etats-Unis. On a vu des familles être arrêtées et expulsées, voire même séparées, sans jamais la moindre considération pour les droits de l’homme qu’un pays aussi puissant a pourtant juré de défendre. Une politique anti-immigration de l’administration Trump (et, soyons honnêtes, de ses prédécesseurs également) qui ne cesse d’émouvoir sans pour autant susciter de réelle réaction concrète. Une chose que cherche à combattre George Takei en montrant dans son engagement politique, au travers de cette œuvre formidable, que ce qui apparaît au départ comme une mesure de sauvegarde de l’Etat peut très rapidement dégénérer en une mesure autoritaire foncièrement opposée aux droits humains. Il raconte dans Nous étions les ennemis la dérive autoritaire américaine sur fond de populisme qui a permise, à l’époque, de justifier les pires horreurs avec la complicité implicite de nombreuses personnes qui au mieux ferment les yeux, ou au pire relativisent la violence de ces actes. C’est quelque chose qu’il a dénoncé très clairement dans un tweet l’année dernière.

On peut d’ailleurs faire un parallèle très clair avec l’époque dans laquelle on vit, une comparaison que George Takei ne fait pas explicitement dans son livre mais qu’il sous-entend très largement dans son engagement de tous les jours. Si ce type de mesure a pu exister à l’époque, c’est parce que le concept de « cinquième colonne » était constamment agité pour désigner la menace extérieure qui serait en train de se réunir dans l’ombre pour renverser l’Etat. Une idée qui montrait du doigt les américains d’origine japonaise à l’époque, et qui peut désigner aujourd’hui d’autres populations. En effet, cette théorie sur la « cinquième colonne » revêt de nos jours d’autres termes qui sont souvent agités par les partisans de droite et d’extrême-droite qui voient dans l’immigration aux Etats-Unis ou en France une nouvelle forme de cette théorie. Cela provoque des politiques qui s’enferment dans une politique répressive et autoritaire, à l’image par exemple de ce que la France peut faire aujourd’hui avec ses « centres de rétention » où sont enfermés des demandeurs d’asile sans grande considération pour les droits à la défense. Sans parler des conditions de détention qui valent à la France des condamnations régulières.

© 2020 Nous étions les ennemis, Futuropolis et IDW Publishing

Un combat pour l’éternité

Alors oui, Nous étions les ennemis raconte un passé honteux pour les Etats-Unis qui a forgé l’esprit combatif et de rébellion face à l’autorité pour l’un des acteurs majeurs de la lutte des minorités LGBTQ+ et immigrées aux Etats-Unis. Mais ce passé se confond avec un présent sur lequel il nous avertit, avec un racisme contre les asiatiques, entre autre, dont il est encore victime : certains vantent par exemple encore la « discrétion » et « l’intégration » des communautés asiatiques dans le monde avec une condescendance foncièrement colonialiste pour les opposer aux autres communautés. Le cinéma de son côté continue de se servir de personnages asiatiques comme simples excuses à des blagues d’un goût douteux. On se souvient récemment de la représentation de Bruce Lee dans Once upon a time… in Hollywood qui a été pointée du doigt, ou encore le dernier film de Guy Ritchie, The Gentlemen, qui fonde la quasi-entièreté de son « humour » sur ses personnages d’origine chinoises, régulièrement désignés avec un terme offensant. La question de l’identité a d’ailleurs été traitée avec beaucoup de malice et justesse par Frédéric Chau avec son surprenant Made in China l’année dernière, et surtout Lulu Wang avec The Farewell. Si le combat de George Takei est aussi important, c’est parce qu’un racisme institutionnel est encore à l’œuvre dans nos pays, et que son expérience comme celle de bon nombre de Nippo-Américains qui ont vécu ces camps d’horreur devrait nous servir à mieux avancer et éviter de répéter les mêmes horreurs que dans le passé.

Il y a en effet beaucoup de choses à apprendre de Nous étions les ennemis. Son auteur, George Takei, ne cesse de raconter, avec un courage qui force le respect, l’amour et l’admiration qu’il voue à ses parents. Admiratif de leur dignité et de leur capacité à surmonter ce qui a brisé leur vie, il y puise la force qu’il met dans ses combats d’aujourd’hui. Mais son œuvre est aussi un avertissement, un rappel, comme une sorte de devoir de mémoire : ce qui s’est passé en 1942, jusqu’à la fin de la Seconde Guerre mondiale, peut revenir à tout instant. Et on en voit les héritiers dans nos sociétés, face auxquels l’acteur refuse de fermer les yeux. Emouvant, son récit est une véritable nécessité de nos jours, et il profite en plus du talent de Steven Scott et Harmony Becker pour mettre en scène cette histoire qu’il partage avec des milliers d’autres américains d’origine japonaise.

3 Twitter

Si vous êtes là, c’est que vous vous demandez sans doute qu’est-ce que c’est donc que « Reflecto ». Entre le fait que ça ressemble à une formule de sort dans Harry Potter, et que ce titre ne soit pas très évocateur, je suis obligé de m’incliner face à la légitimité de votre interrogation.

Voici donc une petite foire aux questions, qui devrait vous éclairer, et vous permettre d’apprécier au mieux chacun des épisodes de cette série :

C’est quoi le concept de « Reflecto » ?

Si j’ai choisi ce titre, c’est parce qu’il vient du latin « Reflectere » qui signifie à l’origine « Plier, recourber », mais qui a donné en français des mots comme « Réfléchir » et « Réflexion ». Et il s’agit justement du fil conducteur de tous les épisodes de la série.

Lorsque je réfléchissais (justement) au type de contenu que je pourrais produire pour Pod’Culture, je n’avais pas envie de me poser de limites quant à la variété de sujets que je pourrais traiter. J’ai eu peur qu’un concept très défini puisse m’enfermer dans un carcan qui m’empêcherait de parler de ce que je veux, et de la manière dont je le souhaite. Face à la variété de ce que je pouvais aborder, il fallait que je me centre autour d’une démarche, plutôt que d’un format. Ainsi est née la philosophie de cette série : Prendre une thématique donnée (Exemple du premier épisode : Le traitement de la mort d’un personnage principal) et me servir des œuvres que je connais pour l’illustrer, et en analyser les ressorts. Le tout sous la forme d’une voix off, illustrée par des images et de la vidéo.

Il s’agit donc d’une série analytique. Mon but est que le spectateur ressorte du visionnage en ayant appris quelque chose, et accessoirement en ayant découvert, via un prisme très précis, une œuvre qu’il ne connaissait pas !

Mais du coup tu vas parler de quoi ?

Eh ben…Un peu de tout ! L’avantage de ce format, c’est qu’il me permet d’aborder les principaux media propres à la pop culture, en particulier les jeux vidéos, la bande dessinée, le cinéma et les séries. Je ne pense toutefois pas traiter ici de littérature, du moins pas en tant qu’œuvre principale dans un Reflecto. J’imagine que vous en conviendrez, un livre, ça se prête assez peu au format vidéo avec voix off.

Est-ce que tu vas spoiler ?

Alors mesdames, messieurs, il faut que vous soyez bien prévenu(e)s : OUI

Le concept de Reflecto implique une réflexion en profondeur sur les œuvres, et donc une analyse poussée de ce qui les compose. Cela va nécessairement entrainer des révélations plus ou moins volontaires (à travers mon propos ou ses illustrations) sur des points clés des œuvres.

De manière générale, si vous ne souhaitez vraiment pas être spoilés, je vous conseille vivement de jouer, lire ou regarder l’œuvre en question avant de visionner un épisode de Reflecto qui lui est consacrée.

©2020, The Last Of Us Part. II, Naughty Dog    ©2006, Mother 3, Shigesato Itoi, APE Inc.

Le premier épisode va, je l’espère, vous faire redécouvrir The Last of Us Part. II et Mother 3 sous un angle différent… 

Pourquoi y’a écrit « Saison 0 » ? Ça veut rien dire Saison 0 !

C’est une façon de dire que je suis en phase de rodage, car je me lance dans le format vidéo avec cette émission. La saison zéro durera le temps que je me sente complètement à l’aise avec ce mode d’expression. En attendant je travaille consciencieusement sur chaque vidéo pour que chacune soit, à sa façon, mémorable !

A quel rythme les épisodes sortiront ?

Pour le moment je compte en sortir un par mois. Dans le même temps je participe également au podcast mensuel de Pod’Culture et je joue dans un groupe de musique assez actif. Ça plus la vraie vie, ça laisse peu de temps pour une parution plus rapprochée. Du moins pour l’instant. On verra si ça évolue dans le futur !

On se retrouvera également tous les mois dans le podcast de Pod’Culture !

Est-ce qu’on peut te faire des retours, des critiques ou des suggestions ?

Bien entendu ! Au contraire, il serait dommage qu’un concept comme Reflecto, justement dédié à aiguiser l’esprit critique, ne soulève aucune réaction ! Je serais très heureux de discuter avec vous si ce que je dis vous donne envie d’exprimer votre propre point de vue, ou si vous relevez des points que j’ai oublié ou que je pourrais améliorer.

Il ne me reste plus qu’à vous souhaiter un excellent moment avec Reflecto, en espérant que ce contenu va vous plaire !

1 Twitter

Depuis que l’on vous tease ce projet, par le biais de tweets et notamment de petites vidéos teaser… Il était temps de le dévoiler au grand jour ! Tout a commencé cet été, lorsque nous cherchions comment faire évoluer Pod’Culture (le podcast), suite aux départs de certains des chroniqueurs, leur permettant ainsi d’être plus proche que jamais de leurs projets aussi bien personnels que professionnels. Sachant d’autant plus que certains n’étaient pas à l’aise à l’oral, d’où la raison de leur départ.

Qu’à cela ne tienne ! Pod’Culture va évoluer, va grandir et va proposer plus de contenu ! C’est pour cette raison que Pod’Culture devient un site, qui plus est un site communautaire, rassemblant plusieurs auteurs/blogueurs/vidéastes.  Permettant ainsi à chacun/e de s’exprimer comme il/elle le souhaite. Que ce soit à l’écrit par le biais d’articles, ou à l’oral avec différents podcasts et vidéos. Tout est clairement possible sur PodCulture.fr tant que notre base de travail reste la même, à savoir : parler de Pop Culture.

La Pop Culture c’est bien sympa, mais ça intègre quoi exactement ?

Pour PodCulture.fr et son équipe, la pop culture concerne les sujets suivants ;

  •  Le cinéma, et les différents types d’œuvres cinématographiques : long/moyen/court métrage, mais également séries ou animés ;
  •  le jeu vidéo ;
  •  la littérature ainsi que la bande dessinée (qui comprend les mangas, comics, etc...)

Comme vous le voyez le choix est vaste, varié et continue à correspondre à ce que l’on voulait aborder avec le Podcast. À savoir des œuvres culturelles que l’on souhaite partager avec le plus grand nombre.

Une ligne éditoriale importante à nos yeux

Comme depuis le début, le choix qui a été fait pour Pod’Culture (l’émission) n’est pas de faire un état des lieux de l’actualité. Ou si c’est le cas, de prendre le contre pied et discuter autour du sujet pour savoir ce que l’on peut en retirer. Donc ici, vous ne verrez pas de « news ». Mais si un sujet d’actu nous intéresse nous en parlerons sous la forme d’un dossier, documenté et avec un avis totalement subjectif.

Notre but avant tout, c’est de partager une réflexion sur un sujet par le biais du ressenti et de l’analyse de chacun des auteurs. Que ce soit sur des œuvres récentes ou non, tant que l’on a quelque chose à en dire et en tirer, il y aura un article sur ces œuvres en question. Par ailleurs, on se retrouvera à raison de 2 fois par semaine, à savoir le mardi et le jeudi dans un premier temps, et bien évidemment nous ne sommes pas fermés à une évolution à ce sujet.

Une nouvelle équipe ?!

Car oui, ce n’est pas le seul changement. L’équipe a elle aussi bien évoluée, entre des petits nouveaux et des anciens. Le staff de PodCulture.fr est rempli de talent, dont je me fais une joie de vous présenter. Ou pour les anciens, vous les représenter.

Anthony F. / Hachim0n, juriste et blogueur sur La Tentation Culturelle, il mettra des taquets à Netflix si l’envie lui en prend ! Passionné de cinéma, il écrit également pour Ciné-Asie et pour son autre passion, les jeux vidéo sur JeuxOnLine.

Aymeric Aulen, ancien blogueur et très actif sur Twitter, sa passion pour la pop culture n’a aucune faille. Il s’amusera à  tisser des liens intéressants entre chaque média !

Donnie Jeep, auteur et scénariste de BD. Il s’en va flâner sur les œuvres culturelles dès qu’il en a l’occasion. Il tient d’ailleurs un podcast (Enter Player Two) où il met en avant, le temps d’une émission, les personnes qui mettent en valeur le jeu vidéo.

F de l’O., co-fondatrice et de retour sur Pod’Culture, notre manieuse de Keyblade professionnelle propose des articles toujours plus intéressant les uns que les autres sur blog Little Gamers ! Par ailleurs, les trophées lui étant un peu montés à la tête, il lui arrive d’écrire des news sur PSTHC.

Hauntya, blogueuse sur les internets et bibliothécaire d’une sagesse exemplaire, elle en est devenue Prophétesse de Senua. Sur son blog Hauntya’s Room, elle nous invite dans son cocon dans lequel elle nous parle de ses œuvres préférées.

Reblys, co-fondateur de Pod’Culture, musicien de talent et dévoreur d’œuvres de la pop culture. Il se pose beaucoup de questions à propos de cette dernière. C’est pourquoi il s’efforcera d’y trouver des réponses par le biais de différents formats ici-même.

Mystic Falco, co-fondateur de Pod’Culture, et surtout ancien blogueur sur MysticFalco.fr. Il était temps de reprendre l’écriture et surtout commencer à écrire des vidéos. Ravi d’avoir rassemblé une telle équipe autour d’un projet commun !

Si vous souhaitez en savoir plus sur nous, n’hésitez pas à checker la page Staff du site, ou vous retrouverez d’ailleurs tous les liens de nos réseaux sociaux et autres blogs.

Le mot de la fin

Maintenant que vous savez tout, il ne nous reste plus qu’à vous souhaiter une bonne balade sur le site. On vous propose pour l’ouverture de celui-ci 2 articles, à savoir :

« Nous étions les ennemis | Pour mieux comprendre le présent » par Anthony F.

« The Last of Us Part II. & Mother 3 | Réussir sa mort » par Reblys.

Une très bonne lecture et un très bon visionnage à vous,

L’équipe de Pod’Culture.

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